Korone Siranae [terminer]

Chap1 : Un exemple

Le soleil brillait, ses rayons me réchauffaient. Je ne pensais à rien, puis soudain une odeur alléchante de sucre monta dans mes narines avec un tourbillon de saveur. Je me levai d’un coup brusque, cognant mon lit contre l’armoire en risquant de faire tomber cette dernière sur moi, même si se ne serait pas une première. Je courue en caleçons dans ma chambre ouvrir ma porte et me pencha au-dessus de la rampe d’escalier. Ma mère venait de poser un gâteau constitué de plusieurs étages avec des fruits rouges et d’autre décoration multicolore. Elle me vit et afficha son sourire matinal.

"-Bonjour mon chéri, joyeux anniversaire."

Mon corps bougea de lui-même, je le sentis sauter sur la rampe puis atterrir dans le salon, dans les bras de ma mère qui me serra dans ses bras.

"-Merci maman ! Disais-je un sourire aux lèvres. Où est papa ?"

Le bruit de la porte d’entrer résonna de son vieux grincement, mon père venait de rentrer avec un baluchon de bois fraichement couper.

"-Salut, joyeux anniversaire pile électrique. "

Ses deux derniers mots sont le signal et départ pour nos blagues vaseuses sur nos pouvoirs respectifs. Je montais sur une chaise pour me mettre au niveau de mon père, collais mon épaule sur la sienne et la bataille commença.

"-Un problème vieil oiseau rabougri."
"-Et toi voltmètre ?"
"-Barbeque."
"-Négatif."

Le coup spécial de maman venait juste de se faire ressentir, un poids très lourd sur ma tête et celle de mon père nous fit tomber sur le sol. Après avoir un peu éclairci mes idées je levais ma tête pour voir le poing de pierre légendaire de ma mère qui avait fait trembler plus d’un ennemi. Son air avait subitement passé de la joie à l’envie de meurtre, ses yeux semblaient même rouges, alors qu’ils sont jaunes.

"-Si vous continuez, à vous chamailler, je vais devoir utiliser LA technique."

Un silence qui aurait fait peur au plus terrifiant monstre se faisait entendre. Mon père et moi connaissons LA technique et personne ne voudrait la subir à nouveau. Le visage de ma mère se calma et on redécouvrit son sourire magique.

"-Mangeons le gâteau, il est parfait pour les 5 ans de mon fils."

Se ne fut pas la peine de nous avoir avec les sentiments, les odeurs de se « trésor » comestible se faisait vraiment oppressant. On partagea le gâteau en trois parts égales, l’appétit est une chose familiale chez nous. Une fois le gâteau finit, ma mère proposa de faire une petite balade près de la rivière. La rivière est vraiment magnifique en cette saison, se serais vraiment génial. On rangea la table avant que je parte préparer mon lit pour ce soir et qu’en cela fut fini on s’engagea Dans la petite route de terre qui traversait la forêt pour directement déboucher sur le lac. On y passa près de quatre heures à nager et jouer dans l’eau, Puis encore une heure pour une petite balade autour. Il était déjà 17 heures 30, normalement je m’entraîne à la magie à cette heure, il fallait donc se dépêcher pour arriver le plus vite possible. Sur le chemin près des champs de blé de mon père un groupe de trois hommes interpella mes parents. L’un d’eux approcha, ils étaient encapuchonner avec des capes noirs.

"-Phénix et séisme, les deux mages ?"

Mon père semblait un peu inquiet, il s’avança à son tour.

"-Si vous connaissez nos noms de magicien c’est que vous voulez quelque chose."

L’homme et ceux de son groupe sortaient des lames de leur cape.

"-Juste vos vies et celle de votre fils, un petit bonus."

Un sourire étira les lèvres de mon père, puis un n’autre sur celui de ma mère. Je savais qu’il était assez recherché par quelque criminel pour une prime sur un marcher par très réglo, mais je connaissais les règles dans ces moments.

"-Je sais papa, je m’éloigne et j’admire. Disais-je avec le même sourire que mes parents."

Mon père engagea le combat avec « flight of phœnix », un jet de flamme sorti de sa paume, pris la forme d’un oiseau de feu et brûla l’homme qui nous avait abordé. Se fut autour de mère, qui lança son « Stony prison », un dôme de roche se forma au-dessus des trois restant et des rochers commençaient à bloquer tout leurs membres. Quand ma mère fut satisfaite de leur prison elle lança la deuxième technique qui était parfaitement rôdé avec la première « Tectonic explosion », elle sauta en l’air et donna un coup de pied sur le sommet du dôme qui explosa sous la puissance de la magie. On pouvait voir les quatre hommes inconscients par terre. Soudain quelqu’un m’attrapa par le coup et me tira jusqu'à ce que je n’aie plus pied. Il posa ensuite une lame de dague sur ma gorge.

"-Hehehehehe, vous allez faire quoi maintenant hein ?"

Je m’étais déjà préparé des centaines de fois à se scénario. Je tapotai le coude de mon ravisseur.

"-Heu, messieurs êtes-vous cardiaque ?"
"-Quoi, heu non, pourquoi ?"

Je ne pouvais plus retenir mon sourire, je posai mes mains sur son torse et utilisa ma magie de corps à corps, « Fist of lightning ». L’homme eue un sursaut puis me lâcha, je sautai sur le sol et vit l’homme qui tombait à terre. Mon père regarda si il vivait encore et fut rassurer de ne pas devoir l’incinérer.

"-Il est vivant, je vais les emmener à la ville, continuer la fête sans moi."

Mon père emmena les corps sur son dos et ma mère m’attrapa par coup et me faisait l’un des plus gros câlins qu’elle ne m’avait jamais fait.

"-Mon chéri d’amour devient un homme, je suis si heureuse. Pleurait-elle dans ses larmes de joie."
"-Ma…man, j’étouffe !"

Elle serra tellement fortement qu’elle m’avait à moitié étranglé. Elle me relâcha et me félicita sur le reste du trajet. De retour à la maison elle me disait de lui dire tous les plats que je voulais, je dictais donc tous mes plats favoris qu’elle prépara avec une assurance déconcertante. Je n’eu le temps de finir que trois assiettes avant que mon père débarque.

"-Ils étaient fichés, 50.000 jewels chacun."

Il se posa sur la chaise en face de moi et me tendit un sac.

"-50.000, ta part."

Ma mère se retourna, elle n’était pas d’accord qu’on me donne autant d’argent, mais elle ne pouvait pas contredire la vérité. J’avais réellement gagné cet argent.

"-Merci papa et maman, c’était certainement l’anniversaire le plus cool de toute ma vie !"

On termina le diner dans la joie et la bonne humeur de cette magnifique journée et à la fin du diner, je me sentais près à leurs dirent mes idées d’avenir.

"-Papa, maman, plus tard je voudrais devenir mage d’une guilde."

Leurs réactions se succéda à une vitesse folle, d’abord l’inquiétude, puis l’incompréhension et enfin la fierté et la compréhension. Se fut sa mère qui lui dicta la réponse d’elle et de mon père.

"-Tu feras de ta vie ce que tu en souhaites, mais va dormir ou tu ne deviendras jamais mage."

Je partais donc en courant dans ma chambre après cette horrible menace. Je me couchais l’esprit léger et ravie.



"Chap2 : Une rencontre et un début"

Je finissais mon petit-déjeuner quand mon père m’appela, dimanche en été je dois l’aider pour le fauchage de plusieurs plans de champs. J’engloutissais mon bol de lait et sortais de la maison, faux à la main. On commença comme toujours par le champ est pour aller en ouest, donc je fauchais de bon cœur, un exercice physique qui fait travaille tes muscles sur la durée. Au bout de deux heures de fauchage sans arrêt j’entendis un petit couinement entre les épies. Je fouillai entre les brindilles et vit une petite belette blesser. Même si je suis un mangeur de viande on m’a appris à respecter la vie. Je partais en courant voir mon père.

"-Papa, cette belette est blessée."

Mon père avait l’habitude de soigner les animaux depuis ‘aménagement d’un box dans la cour arrière. Il attrapa la belette et la regarda sous tous les angles, puis il donna son verdict.

"-Elle a une patte fouler, un petit bandage et sa passera."
"-Je peux le faire ?"
"-Bien entendue, soigner les bêtes fait partie de ton boulot du dimanche. De plus ton cercle élémentaire à une belette comme dessin en son centre, c’est peut-être un signe."

Après avoir eu son autorisation, je partais vers la maison en évitant de faire bouger cette pauvre créature. J’ouvris la porte, ma mère vit l’animal et compris qu’il lui fallait des soins, elle sortie un bandage, un chiffon, de l’eau froide et une paire de ciseaux. Je commençai par lui rasé la jambe avec les ciseaux, puis plongea sa pattes dans l’eau pour calmer un peu la douleur et le moment que je déteste. Je lui prenais sa patte, maman lui tenait la tête entre ses mains et je lui remboîtai sa patte. Elle s’asticota dans touts les sens puis se calma après de longues minutes de bataille. J’enroulai son bandage autour de la patte avec un morceau de bois pour que l’articulation de bouge pas. Je demandai à ma mère de la garder le temps que je finisse le fauchage. Les heures passèrent et enfin le travail était fini. Mon père et moi rentrions dans la maison en voulant savoir comment allait ma belette. Ma mère accourue sur la pointe des pieds avec un doigt sur sa bouche.

"-Venez voir. Nous chuchota-t-elle."

On alla dans la cuisine et l’image que je venais de voir restera à jamais dans ma mémoire. La belette était allongée sur un coussin, mais sur le dos. Avec un ventre bien rond et une gamelle vide à coter. Ma mère étouffa un petit rire.

"-Il me rappelle quelqu’un ?"

Elle faisait surement allusion à moi et commença il ?

"-Il ?"
"-Oui, c’est un mal, je te charge de le soigner jusqu’à ce qu’il puisse partir."

Ça me suffisait très bien, comme mes cours était fait à la maison par ma mère je pourrais toujours garder un œil sur lui. Quelque semaine passèrent et la belette avait parfaitement repris, elle gambadait sur touts les murs avant de me sauter dessus pour faire semblant de m’attaquer. Il devait partir, le soir moi, papa et maman le firent sortir dehors, mais il rentrait immédiatement après qu’on l’est relâché. Il restait entre mes bras, il ne voulait pas me quitter. C’était peut-être vraiment un signe.

"-Papa, maman, demain je pars."

Ma mère s’étrangla.

"-Pardon et tu pars où ?"
"-Papa, m’a dit que cette belette était peut-être un signe du destin et je crois qu’il avait raison."

Je sentie une main ferme se poser sur mon épaule. Mon père me soutenait. Je décidais d’affronter la fureur de ma mère, je me retournais et la vis pleurer. Elle se jeta sur moi et me serra avec beaucoup de chagrin.

"-Tu choisis ton avenir, mais tu pourras toujours revenir."

Je la prenais dans mes bras de la même façon qu’elle faisait quand j’étais triste.

"-Je reviendrais, ça je peux te le promettre."

Elle me lâcha et je me tournai vers mon père.

"-Promet moi seulement que je deviendrais grand-père."
"-Pas de problème et je prolongerais la durer de vie des gentlemen."

On dîna ce soir comme jamais, mes parents me donnaient des milliers de conseilles pour dehors et il parlait même de tenter de joindre le dernier membre de leur ancien trio pour qu’il lui apprenne la magie de foudre. La nuit tombait et je commençais à sombrer dans le sommeil. Le matin je me levais à l’aube pour voir une dernière fois le lever de soleil. Je prenais mon sac, un baluchon avec de la nourriture et Rai. Devant la prote ma mère et mon père m’attendaient. Ils me serrèrent une dernière fois dans leurs bras, car quand je reviendrais je serais un homme. Quand les embrassades furent terminées je partais en direction du soleil qui se levait, vers ma nouvelle vie.