Elyahne Malis | Imaginer pour avancer ou pour éviter la réalité?

Pouvoir :: Pour un mage, sa magie, son pouvoir, est plus essentiel et important que sa propre vie. Tu lui ôtes sa magie, il ne survivra pas. C’est son essence, c’est son âme. C’est comme la comparer au sang, un liquide vital qui réchauffe votre corps. Un sentiment de plénitude envahit alors son possesseur lorsque celle-ci coule sans relâche dans ses veines. Un simple mortel ne pourrait comprendre ce lien magique. Privé de sa magie, un mage se sent impuissant, il se sent inutile. Il aura sûrement peur. Un pouvoir devient bien plus qu’une arme ou qu’un ustensile. Un pouvoir devient une habitude, devient une sœur.  

Qu’est-ce que l’imagination ? Une chose abstraite qui, comme pleins d’autres concepts dans la vie, est sujet à plusieurs perspectives à son égard. Est-elle bénévole ? Nous permettant d’y idéaliser nos rêves, de donner forme à nos buts, à nos envies, d’embellir nos souvenirs, de s’éloigner vers un autre univers lorsque le notre ne nous paraît pas suffisant ? Mais cela ne serait-ce pas destructeur à notre propre existence ? Notre imagination ne finira-t-elle pas par nous dévorer ? À force de nous y cacher, les humains peuvent confondre réalité et rêve et se perdre à jamais dans les fin fonds inexplorés de leurs songes. Et n’est-ce pas qu’un sentiment néfaste à l’homme ? Voir tout ce que l’on veut en rêve afin de se rendre compte de ce qu’il nous manque pour nous sentir entier, ne finirons-nous pas par détester notre propre existence, par la rejeter et sombrer dans une haine incontestable ? L’imagination est un monde dangereux et attrayant à la fois. Elyahne est consciente de ce contraste vu qu’elle en a le contrôle.

Cette magie est certainement étrange et dangereuse. Il est prudent de dire que cette magie est une magie perdue, elle ne faisait plus partie de ce monde mais est pourtant apparue à nouveau dans notre univers, au profond de l’entité d’un nouveau-né. Il n’existe donc pas la possibilité de croiser un étranger possédant ce même pouvoir, au malheur de sa porteuse. Étrange et particulière. Elyahne est l'une des rares personnes à avoir accès à ces magies perdues. Même si elle sait qu’elle ne trouvera personne avec son même pouvoir, elle en a toujours l’espoir. Parce-que apprendre à le contrôler a était l’une des choses les plus difficiles qu’elle ait eut à faire. Il peut paraître inoffensif et plutôt amusant lorsqu’on en parle mais ce pouvoir est, en partie, cause de malheur chez la jeune fille. Mais assez de parler en code, en quoi consiste donc ce pouvoir si inquiétant ? Il peut se résumer avec son nom, en une simple succession de mots. Arc of Embodiment : Magie de matérialisation. Le pouvoir de pouvoir créer toute sorte d'objets et  créatures à partir de son imagination, défensives ou offensives. Magie qui peut aussi matérialiser des images dans l'air. Attention, ce ne sont pas des illusions, ça ne sert pas pour tromper, juste pour faire apparaître des images. Un pouvoir qui demande beaucoup de concentration mentale. Mal contrôlé, ce pouvoir peut virer au cauchemar parce-que une simple étourderie, une simple pensée de trop pendant qu’elle a sa magie activée peut faire tout chavirer. Comme conséquence de cet apprentissage, Elyahne a développé un sens de l'observation détaillé. Elle ne peut pas créer quelque chose qu'elle n'a jamais vu et essaye toujours de capter toute information possible.

Une magie qui paraît donc sans limite, sans inconvénient. Normal, elle a l’air bonheur et couleur à tout bout de champ. Mais ce n’est pas ainsi. La concentration demandée est énorme et bien évidemment, ses créations ne durent pas infiniment. Dépendant du sort utilisé, de la création demandée et de la puissance requise, ces matérialisations dureront plus ou moins beaucoup. Sinon, comme dit antérieurement, une faute d’inattention pourrait la faire tout rater. Elle doit donc faire attention à ce point là en particulier. Son entraînement lui a permis de maîtriser son calme et d'agir avec rapidité, mais son point faible reste et restera toujours sa déconcentration sa défense physique. Depuis son plus jeune âge, elle a l’habitude de créer pour se défendre sans bouger un pouce. Si l’on perce sa barrière de création et l’on arrive près d’elle, elle n’a plus aucune défense. Paniquée, elle deviendra une proie facile. Et, bien qu’elle puisse matérialiser objets et créatures, elle se spécialise sur les objets, ne laissant l’apparition de créatures qu’en cas désespérés, celles-ci étant ses créations les plus impressionnantes et fortes. Bien qu’elle ait complètement oublié ce passé traumatique lié à ses créatures, ce sentiment d’insécurité en face d’elles est toujours présent malgré son incompréhension. Avec le temps et la pratique, elle est parvenue à maîtriser leurs pouvoirs, mais cette habitude de les laisser de coté lui est pourtant resté ancré.

(Bonus si niveau A atteint) Avec le temps et la maîtrise de cette magie, Elyahne c’est découvert, grâce à sa haine envers les humains et son envie de les voir souffrir, une affinité à percer les souvenirs les plus obscurs des autres. Si elle se plonge totalement dans son pouvoir, celui-ci peut atteindre un autre niveau et elle touchera ainsi la mémoire des autres. Puis en fusion avec sa magie de matérialisation, celle-ci pourra alors recréer les peurs et les horreurs dont craignent ses ennemis. Cependant, il ne faut aucune distraction et elle doit être totalement absorbée pour atteindre cette phase. Du coup, elle ne peut pas se concentrer sur ce qu’il y a autour d’elle et ne pourra compter que sur le temps de vie de ses dernières créations (Si elles existent) pour se protéger (Si nécessaire). Elle utilise cette magie pour s’amuser parfois. Quand elle se retrouve dans de grosses foules, elle se divertit à chercher leurs pires cauchemars pour savoir qui a assez vécu pour mériter de vivre et qui n’a connu qu’une merveilleuse existence et qui ne devrait pas avoir le droit de vivre paisiblement.

Arme(s) :: Elle n’en voit pas l’utilité. Pourquoi trimballer ce genre de choses avec elle si son pouvoir lui permet de créer ses propres armes ? Que ce soit un couteau, un lance, une épée ou même un marteau, il lui suffit d’activer sa magie, de se plonger dans l’imagination et son désir deviendra réalité.

Descrption Morale :: [10 lignes complète minimum]

Description Physique :: [10 lignes complète minimum]

Histoire ::

Le soleil défilait au dessus de sa tête, illuminant le ciel de son éclat lumineux. Sa chaleur réchauffait le monde et ses rayons étaient comme un doux pinceau qui embellissait le monde. Le vent n’était qu’une faible brise qui caressait délicatement les arbres qui se balançaient lentement de droite à gauche et de gauche à droite comme si ils interprétaient une magnifique danse. Les fleurs irradiaient un parfum particulièrement doux qui magnifiait les sens des vivants. Les oiseaux chantaient de magnifiques balades qui berceraient même le coeur de l'homme le plus triste de la planète dans une paix sans conteste. Le tout était digne d'un magnifique tableau. La jeune fille qui observait attentivement le paysage était émerveillée devant autant de beauté divine. Rien de plus gaie qu'une magnifique et parfaite journée. Le sentiment de vie était présent à bout de champs, découvrant ainsi un sentiment perdu chez la petite silhouette qui observait tout cela. C’était magnifique, c’était merveilleux, c’était inimaginable, et pourtant, elle n’arrivait pas à percevoir la vraie beauté de cette peinture. Tout avait l’air en contraste avec elle-même. Les impassibles lèvres de la jeune fille se tordirent alors. Pourquoi un si beau paysage avait le droit d’exister si sa tête n’était que tempête et mauvais temps ? Elle se sentait au milieu d’un orage. Tout était nuage et obscurité. Elle ne comprenait rien. Elle ne se souvenait de rien. L’unique image qui parvenait à sa mémoire était le paysage qui brillait devant ses yeux. Elle n’arrivait même pas à savoir son nom, ou même… à voir son visage. Et cependant, c’était une magnifique journée.



Elyahne est née dans un joli village du Royaume de Fiore le même jour que trois autres filles et deux garçons. Tout comme eux, cette brusque arrivée d'air dans ses poumons ébranla son petit monde en lui brûlant la gorge. Tout comme eux, elle se mit à crier et à pleurer pour que ce cauchemar s'arrête. Tout comme eux, elle s'était arrêtée car elle avait compris que hurler ne changerait rien. Ils étaient là, un point c'est tout. Mais contrairement à ceux des autres, ses parents ne pleurèrent pas de bonheur devant l’apparition de son faible corps, car eux, ils n’étaient pas comme les autres. Ils étaient jeunes et aucun des deux n’avait l’air d’avoir souhaité cela. À peine majeurs, ils ne savaient pas quoi faire et ils avaient peur. La petite chose fit alors une bulle qui lui éclata sur le nez et lui fit s'écarquiller ses yeux encore plus. Vu comme la chose gluante qui venait d'apparaître et avait aussitôt disparue était bizarre, le bébé eu tout de suite envie d'en revoir. Hélas, malgré tous ses efforts, la chose toute ronde et brillante ne voulue pas réapparaître. Se concentrant alors sur son estomac, la petite fille se rendit alors compte que son ventre était vide. Cette découverte l'attrista fortement et elle se remit à hurler. Devant autant de naïveté, ses parents ne résistèrent pas et son père la déposa sur le torse de la mère. Ils se sourirent en regardant le bébé se jeter avidement sur le lait maternel. Qu’importe que cette petite chose soit une vraie surprise, elle était leur fille et se nommerait du prénom qu’ils lui avaient donné, du prénom qu’elle avait du oublier avec tout le reste..

Le jeune homme s'appelait Shiruka et la jeune femme répondait au prénom de Junie. Ils vivaient ensemble dans une jolie maison depuis peu. Ils étaient tombés amoureux plusieurs années avant et n’avaient décidés de vivre ensemble il n’y a que quelques mois, lorsque la nouvelle leurs était tombée dessus : ils allaient être parents. N’étant pas vraiment ravis par la nouvelle, le couple avait du l’accepter. Shiruka travaillait dans la guilde du village et tentait, tant bien que mal, d’utiliser son faible pouvoir pour faire quelques travaux. Junie hérita de la fleurerie de sa mère, qu’elle arriva à maintenir en place grâce à sa propre magie qui s’accordait harmonieusement avec la nature. Malgré les circonstances, ils s’en sortaient plutôt bien, et arrivèrent, pendant ces quelques mois, à réunir des économies pour réussir à vivre à trois. Ils n’étaient pas connus par leurs pouvoirs mais plutôt par leur gentillesse et affection avant tout. Toujours là pour aider les autres, c’était une modeste famille de mages qui ne cherchait jamais les problèmes. Ils étaient heureux, et même si tout n’avait pas tourné de la façon qu’ils auraient voulue, ils étaient profondément amoureux et aimèrent leur fille de tout leur coeur. C’est cette affection qu’ils lui offrirent qui la fit grandir dans une merveilleuse ambiance. Elyahne était une enfant heureuse, toujours joueuse et rieuse. Comme tout enfant, ses premiers mots furent « Maman » et « Papa ». Comme tout enfant, ses premiers pas ne tardèrent pas à se réaliser. Comme tout enfant, ses bêtises se faisaient de plus en plus présentes. Mais à différence des autres enfants, elle avait hérité d’une puissance surprenante qui ne tarderait pas à se montrer à la lumière du jour. Cependant, tant que cette force ne s’était pas manifestée, elle vivait tranquillement et paisiblement ses premières années de vie. Jusqu'au jour où tout bascula.

Personne ne sait d'où elle avait sorti une telle puissance. Née de parents aux médiocres pouvoirs, son entourage s'attendait à voir une simple humaine, peut-être possédante d'une quelconque magie, quelque chose de faible qui lui serait probablement utile dans un futur lointain. Pourtant, un homme avait remarqué, il ressentait la puissance en elle et savait très bien que ce n’était pas une chance à manquer. Fort longtemps il avait attendu le jour où naitrait un être capable de porter cet ancien pouvoir dont parlaient les livres qu’ils avaient lu et étudié. Un être jeune et naïf qui plus est. C’était parfait.

Jour et nuit il la guetta et chaque après-midi, quand la fillette sortait se balader, il s’approchait et lui parlait innocemment. Petit à petit il gagna sa confiance, et il la fit promettre qu’elle ne mentionnerait pas son existence à ses parents. Que ce serait leur petit secret. Elle faisait ce qu’il lui demandait. Elle était trop jeune pour imaginer le pire, et il était son ami après tout, non ? Un ami, certes, mais un ami intéressé. Un ami qui lui apprenait des choses bizarres, qui la poussait à bout de force et qui la faisait jouer à des jeux étranges (Pas de pensées déplacées s’il vous plait). Mais elle ne se doutait de rien, elle n’avait jamais eu beaucoup d’amis donc ne voulait pas perdre les quelques qu’elle avait. Petit à petit elle sentait quelque chose naître entre elle, une force inconnue qui cherchait à sortir et qui grandissait tous les jours. Elle tentait de la retenir, mais cette tâche devint rapidement impossible pour une fillette de son âge. On l’avait maudit, et ce serait ainsi pour toujours.

Et où aurait-elle appris à réaliser de telles choses ? Qui imaginerait que cette puissance émanerait d'un corps aussi petit? Qui imaginerait qu'une puissance pareille puisse être née dans un village aussi insignifiant? Elle était censée exister dans la haute société, chez les nobles, pas dans un endroit aussi petit. C'est peut-être à cause de cela qu'une puissance pareille avait pu causer autant de dommage. Personne ne savait comment la contrôler, personne pour en savoir les dangers, personne pour songer quoi en faire. Un trésor, même minime, pourra toujours envenimer l'âme d'une personne de basses ressources. L'envie de possession le rongera petit à petit et finira par le démanger complètement. Qui ne voudrait pas être possesseur d'un tel bijou? Qui ne voudrait pas s'approprier des avantages de cette perle? C'était comme mettre un lapin face à un loup affamé. La petite bête n'était pas fautive, elle était juste arrivée au mauvais moment, à la mauvaise place. Et l’homme qui avait commencé tout cela se réjouissait, caché dans l’ombre. Bientôt il pourrait s’en servir, mais tout d’abord, il fallait le laisser mijoter tout seul. Il disparut aussi fugacement qu’il était arrivée et abandonna la fillette au merci des autres. Mais tel était le destin. Son destin. Tout se passe pourtant pour une raison, non? Enfin, c'est ce que l'on dit.

Elle avait cinq ans. Elle faisait peur. Les fluctuations de sa magie avaient commencés à se faire plus présentes. Tout ce qui avait commencé comme un jeu d’enfant finissait par devenir effrayant. Personne ne savait comment, personne ne savait pourquoi, mais la petite fille arrivait à matérialiser son imagination. Comme tout enfant, elle avait adorée ce don au début. Comme tout enfant, elle voulait l’essayer. Comme tout enfant, elle ne faisait que jouer avec, faisant apparaître des jouets et des petits objets. Petit être innocent et aveugle, elle ne pouvait pas penser au danger de sa magie. Ses parents avaient beau la cacher ou l’obliger à ne pas se montrer, les villageois avaient rapidement compris de quoi il s’agissait. Un pouvoir comme le sien était un luxe. Un luxe dont le village ne pouvait se priver. Ce dernier était petit. Il était inconnu. Il était modeste. Matérialiser ses souhaits c’était arriver rapidement en haut de la pyramide. Les villageois n’étaient pas bêtes, ils avaient rapidement compris les atouts. Sans lui vouloir du mal, ils essayaient de convaincre ses parents que c’était pour le bien de leur communauté. Comme tout les habitants, ils devaient se sacrifier pour le bien commun, même si cela signifier exploiter leur fille au besoin des autres. Mais le couple avait refusé. Elyahne n’était qu’une enfant, trop petite pour pouvoir supporter une charge aussi grande. Jamais elle n’y arriverait ainsi. De plus, ils essayaient de découvrir la source de cette magie. Mais les villageois ne pensaient pas pareil. Ils les harcelèrent, les menacèrent, leurs faisaient peur. Elyahne commençait peu à peu à perdre le sourire. Elle commençait à faire des cauchemars toutes les nuits. Elle n’en pouvait plus de cette ambiance. Elle n’avait jamais demandée une chose pareille. Pourquoi avait-elle hérité d’un tel don alors qu’elle n’avait jamais suivit quelconque entraînement magique ? Monstres et horreurs peuplaient ses rêves. Et avec sa fureur, grandissait son pouvoir. Ce qui commença comme un cauchemar termina par devenir un enfer. Démons et créatures se matérialisèrent et se firent un bonheur de tout détruire à leur passage. Mais ils ne la touchèrent pas, elle, leur créatrice, petite créature qui avait beau crier, pleurer, se tordre dans tout les sens, sans obtenir aucun résultat. Ses inventions écrasèrent, démembrèrent, dévorèrent tout être vivant dans leur passage, sans aucune exception. Les petits yeux de la jeune fille eurent l’horreur de voir l’atroce mort de ses parents et de son village. Le corps tremblant, son regard resta figé pendant de longues heures, pendant de longs jours, pendant elle ne sait combien de temps, même après le massacre terminé. Elle ne bougeait plus, les mains sur les oreilles, les yeux grands ouverts, les genoux repliés. Uniquement ce léger tremblement émanant de son corps semblait pouvoir prouver qu’elle continuait en vie.

Elle fit alors ce que n’importe quel être humain aurait fait : elle oublia. Même la plus minime parcelle de sa mémoire disparut, ravagée par ce souvenir maudit à jamais.



Et la vie recommence, une nouvelle fois. La vie est une véritable boucle, sans fin. On peut vraiment s’interroger sur le sens de la vie mais comment parvenir à une conclusion? C'est juste une profonde interrogation sur l'origine, sur l'existence. De nombreuses questions peuvent alors fleurir suite à ce débat. Qui sommes-nous? D'où venons-nous? Où allons-nous? Un peu comme le présent, le passé et le futur. Mais celles-ci ne sont que des questions sans réponses. L'homme n'est pas sédentaire, ce que l'on peut dire un jour, on peut le réfuter le jour d'après. Donc comment savoir où l'on va vraiment si l'on peut changer de chemin? C'est probablement frustrant de voir cela comme ça. Mais la vie n'est pas un sujet léger. On a beau se concentrer sur un chemin bien précis, plusieurs bifurcations feront face au long de la marche. Comment parvenir à suivre la même trace si autant de possibilités sont à portée de main? Où va la vie? Vers la mort normalement. Mais celle-ci n'est qu'une fin comme les autres. Et une fin suit toujours un nouveau début, un nouveau commencement, une nouvelle vie. Le détriment d'une première pour la naissance d'une deuxième. Vivre. Mourir. Sans savoir pourquoi. Ce que vécu Elyahne ce jour-là ne fut autre qu'un nouveau réveil vers un nouveau monde, vers une nouvelle vie. Lorsqu'elle ouvrit les yeux face à ce beau matin, elle n'avait fait que naître une nouvelle fois. Observant son entourage, elle dévisageait l'inconnu et la découverte l'appelait. Un évènement qui lui avait ouvert les portes du monde et lui avait donné les clés pour ouvrir les chemins qu'elle croiserait. S'appropriant de ce cadeau, elle fit son premier pas. Son pied gauche se posa délicatement sur la terre ferme. Elle venait de commencer sa première journée.  





Autres :: [Une petite chose à ajouter sur votre perso ?]


[Un test rp sert à évaluer votre niveau d'écriture et vous donner ainsi un rang des le début. Dans se test rp vous ferez un entrainement, un moment de sa vie et que sais-je encore! Vous êtes libre de faire ce que vous voulez à conditions bien-sûr que sa à un rapport direct avec le personnage que vous voulez jouer. Un minimum de 30 lignes vous est demandez.]